Togo, les organisations de presse suspendent le sit-in qui devrait ,protester contre les attaques dont sont victimes les journalistes reporters de la part des forces de sécurité. les raisons…

24 10 2012

Conformément aux dispositions  des articles 09 et 10 de la Loi N°2011-010 du 16 Mai 2011 «  fixant les conditions  d’exercice de la liberté  de réunion et de manifestations pacifiques  publiques », trois organisations  de journalistes notamment le Syndicat national des journalistes indépendants  du Togo (SYNJIT), le Réseau africain des journalistes sur la sécurité humaine et la  paix (RAJOSEP) et SOS Journaliste en Danger ont adressé le 15 octobre dernier un courrier d’information au  Président de la délégation spéciale de la Commune de Lomé sur un sit-in qu’elles projetaient organiser devant le ministère de la sécurité le 23 Octobre 2012.

Le vendredi  19 Octobre, la Délégation spéciale de la Commune de Lomé a invité par téléphone les responsables des trois organisations.  A cette rencontre qui a eu lieu autour de 10 heures à l’hôtel de ville de Lomé, le président de la délégation spéciale  a signifié aux responsables  que le ministre de la Sécurité et de la Protection civile voudrait les rencontrer.  Lire le reste de cette entrée »





Togo, confidentiel… Trois diplomates africains sur le ring…

23 10 2012

Décidément ce petit rectangle de pays ne manque pas de surprendre avec ses histoires insolites et inédites. l’info pour l’instant confidentielle, nous ai parvenu en début d’après-midi où trois diplomates actuellement en séjour au Togo de monsieur Faure Gnassingbé se sont livrés dans un hôtel de Lomé,  a une bagarre digne de Cassius Clay ou plus près de nous de Mike Tyson, avec pour seule différence qu’au lieu de deux adversaires ils étaient trois sur le ring non des boxeurs professionnels à la recherche d’une quelconque  médaille, mais d’honorables diplomates pour s’expliquer avec des coups de poing.

La pomme de discorde selon nos recoupements, une « importante affaire » engageant vraisemblablement d’importants moyens. En effet,pour que des diplomates ignorent leur rang et fassent fi de toutes les règles de diplomaties pour se livrer en spectacle, l’affaire en question doit être d’une importance capitale. Lire le reste de cette entrée »





togo,LE RAJOSEP RECLAME DES EXCUSES PUBLIQUES DE LA POLICE NATIONALE TOGOLAISE.

9 10 2012

Le vendredi 05 Octobre 2012, au cours d’une manifestation du Collectif « Sauvons le Togo » et de la Coalition « Arc-en-Ciel », le Réseau africain des journalistes sur la sécurité humaine et la paix (RAJOSEP) a été témoin d’une agression des journalistes au carrefour de Bè, sur le Boulevard Félix Houphouêt Boigny.

Le RAJOSEP a eu à constater que le journaliste Justin ANANI s’est retrouvé à terre après avoir reçu un coup de coude sur le thorax de la part du Commissaire de police BABARIM. Cet acte est intervenu quelques minutes seulement après qu’un policier s’est lancé avec véhémence sur le journaliste Sylvio Combey COMBETEY, président du RAJOSEP, et l’a menacé de le gifler s’il n’arrêtait pas de filmer l’interpellation de deux jeunes. Lire le reste de cette entrée »





LE CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA TOGOLAISE (CMDT) RENOUVELLE SON SOUTIEN AU PEUPLE TOGOLAIS DANS SA LUTTE POUR SA LIBERATION.

5 10 2012

Le CMDT a tenu son séminaire de rentrée ce 29 septembre 2012 à Lille, quelques semaines après son bilan d’étape de Londres.

 

Présidé par son Coordinateur général, Dr Martin Amouzou, cette rencontre stratégique a regroupé les coordinations nationales de la diaspora  togolaise notamment celles de la Belgique, de l’Allemagne, de l’Angleterre, de la France et celle de la Suisse.

 

Les discussions ont porté sur deux sujets essentiels à savoir : la situation socio-politique du Togo et la feuille de route des actions du CMDT pour les prochains mois.

 

Pour  ce qui concerne le premier point, les participants ont fait une analyse minutieuse de la situation politique préoccupante de notre pays et sont arrivés aux conclusions suivantes : Lire le reste de cette entrée »





Togo, le CST remet à sa place le président de la délégation spéciale de la commune de Lomé, le contre amiral Fogan ADEGNON, qui a dû mal à gérer les manifestations publiques, un droit pourtant garanti^par la constitution.

5 10 2012

Lomé, le 03 octobre 2012

 

A

Monsieur le Président de la Délégation Spéciale de la Commune de Lomé

LOME

 

 

 

Objet : Vos lettres du 02 octobre 2012

 

 

 

Monsieur le Président de la Délégation Spéciale,

 

Nous accusons réception de vos lettres N° 405/ML et 407/ML du 02 octobre 2012 et tenons à y faire les observations suivantes.

Le fait d’évoquer le « communiqué » du Ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités Locales pour justifier votre décision est illégal pour les raisons suivantes :

1°) En vertu de la hiérarchie des normes et textes, un simple « communiqué » fut-il gouvernemental n’a aucune valeur juridique et ne peut, par conséquent, être opposable ni à la Loi N°2011-010 du 16 mai 2011 « fixant les conditions d’exercice de la liberté de réunion et de manifestation pacifiques publiques », ni, a fortiori, à la Constitution togolaise du 14 octobre 1992 qui garantit la liberté de manifestation pacifique en son article 30,

2°) En procédant à une interdiction de caractère définitif et général, ce « communiqué » viole l’esprit et la lettre de la Loi et de la Constitution précitées.

3°) Nous tenons à vous rappeler qu’aucun accord n’a jamais eu lieu entre nos deux parties en vue de l’application du communiqué du gouvernement, manifestement illégal, que vous tentez constamment d’imposer au CST. Lire le reste de cette entrée »





le Collectif Sauvons le Togo et la coalition Arc En Ciel célèbrent le 05 octobre. 22 ans déjà.

5 10 2012

5 octobre 1990 – 5 octobre 2012 : il y a 22 ans, le peuple togolais qui résistait jusque-là, de manière passive, à la tyrannie qu’il subissait, se souleva spontanément, à partir de sa jeunesse, pour exiger la fin du régime dictatorial d’Etienne Eyadéma GNASSINGBE, lors du procès de deux jeunes gens emprisonnés et torturés pour avoir organisé, ensemble avec des étudiants, la distribution de tracts hostiles au régime, incitation de l’armée à la révolte et d’appartenir à un parti clandestin, la Convention démocratique des peuples africains (CDPA). Voici comment le journal Forum Hebdo présenta, dans son édition du 17 octobre 1990, comment tout bascula, dans la grande salle d’audience du Palais de justice de Lomé, ce 5 octobre 1990 où survint cet événement historique : « A l’arrivée des prévenus, l’assistance composée d’hommes, de femmes, des fonctionnaires, de chômeurs et d’étudiants scandaient « Libérez-les, libérez-les ; ‘A bas le RPT- Vive le multipartisme – A bas le MONESTO etc., et chantaient « Terre de nos aïeux », Lire le reste de cette entrée »